On trouve dans les récits historiques des allusions au point de vue du Tahara’a comme lieu privilégié d’observation.
James Cook, en 1769, est à Tahiti pour observer le passage de Vénus depuis la baie de Matavai. Or, le Tahara’a offre une vue dégagée sur ce qui devra dans l’histoire moderne de Tahiti la Pointe Vénus.
Cette vue s’étend de l’autre côté et embrasse Arue, Pirae et Papeete. Avec en fond l’île de Moorea.
Le point de vue devient donc très prisé et à l’aménagement sommaire établi au fil du temps lui succède fin 2013 une esplanade végétalisée à deux niveaux de plus de 1.000 m2, offrant un panorama à 180°.
Avec la rénovation du réseau routier, la réalisation d’une voie supplémentaire, d’une chaussée, de parking côté Mahina et de ronds-points, l’enveloppe totale d’aménagement du site a atteint les 3,3 milliards Fcfp, assurés dans le cadre d’un partenariat Etat/Pays.